Pékin

Une visite détaillée de la ville de Pékin (北京, Beijing), en Chine, et de ses principaux points d'intérêt : Cité interdite, palais d'été, temple du ciel, parcs Beihai et Yuanmingyuan...

    Parenté :
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Pékin (北京 Beijing) est la capitale de la Chine depuis 1420, suite à une décision de l'empereur Yongle, de la dynastie Ming. Le monument le plus remarquable est la Cité interdite, qui fut le palais des empereurs Ming et Qing. Je présente ici mes visites réalisées dans le cadre de deux voyages successifs, en février et en mai 2010.

Le cœur de la ville

La Cité interdite

La Cité interdite, dont la construction a commencé en 1406, était le palais permanent des empereurs des dynasties Ming et Qing. Elle a hébergé successivement 24 empereurs, jusqu'à la fin du système féodal, en 1911, avant de devenir un musée, en 1925, qui exhibe des collections d'objets (bijoux, bronzes, céramiques...) dans des bâtiments d'époque restaurés. Il est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1987.

La porte du palais s'appelle Tian'anmen. Elle est séparée de la place du même nom par la « rivière dorée », que traversent sept ponts. Cinq d'entre eux conduisent aux cinq ouvertures de la porte et deux autres à des temples ancestraux. Ils furent construits en 1420 et rebâtis en 1690. Le pont central, le plus grand, mesure 23 mètres sur 8,5. La Cité recouvre une aire rectangulaire de 960×650 mètres (soit 625 000 m²), entourée d'un rempart de 10 m de haut et d'un fossé de 52 m de large rempli de l'eau de la rivière dorée.

Le palais se divise en deux cours : la cour extérieure comprend la porte de l'harmonie suprême (Tai he men), les salles de l'harmonie suprême (Tai he dian), de l'harmonie parfaite (Zhong he dian) et de l'harmonie préservée (Bao he dian) ainsi que les ailes (salles Wen hua dian et Wu ying dian). La cour intérieure comprend la porte de la pureté céleste (Qian qing men), le palais de la pureté céleste (Qian qing gong), la salle de l'union et de la paix (Jiao tai dian), le palais de la tranquillité terrestre (Kun ning gong), la salle Yang xin dian ainsi que les six palais de l'Est, les six palais de l'Ouest et le jardin Yu hua yuan. C'est dans cette seconde cour que vivaient l'empereur, l'impératrice et les concubines.

[Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Pékin - La Cité interdite : la porte Tian'anmen vue depuis l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Pékin - La Cité interdite : un huabiao. [Cliquez pour agrandir : 117 Kio] Pékin - La Cité interdite : récipient décoratif. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - La Cité interdite : décoration montrant deux dragons jouant avec une perle. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - La Cité interdite : rue latérale. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Pékin - La Cité interdite : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - La Cité interdite : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 65 Kio] Pékin - La Cité interdite : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Pékin - La Cité interdite : décoration montrant deux canards. [Cliquez pour agrandir : 153 Kio] Pékin - La Cité interdite : décoration montrant un dragon jouant avec une perle. [Cliquez pour agrandir : 106 Kio] Pékin - La Cité interdite : décoration en forme de disque percé. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Pékin - La Cité interdite : décoration d'un pilier et de toits. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Pékin - La Cité interdite : ponts.

Porte de l'harmonie suprême

Cette porte fut d'abord construite en 1420, pendant la dynastie Ming. Brûlée en 1888, elle est reconstruite l'année suivante. Sa superficie est de 1300 m² ; son toit est étagé et ses décorations intérieures, superbes.

Devant la porte, à l'extérieur, se trouvent deux lions en bronze datant de la dynastie Ming. Ce sont les plus grands du palais. Ils symbolisent l'intelligence et la protection. Ce lieu servait aux actes administratifs, comme la réception des officiels.

[Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Pékin - La Cité interdite : la porte de l'harmonie suprême. [Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Pékin - La Cité interdite : lion en bronze devant la porte de l'harmonie suprême. [Cliquez pour agrandir : 156 Kio] Pékin - La Cité interdite : la porte de l'harmonie suprême : décorations. [Cliquez pour agrandir : 149 Kio] Pékin - La Cité interdite : la porte de l'harmonie suprême : décorations.

Salle de l'harmonie suprême

Ce bâtiment fut construit en 1420 puis fréquemment reconstruit à la suite d'incendies, jusqu'à l'an 1695, dont date la version actuelle. Il mesure 35 mètres de haut et repose sur une base de trois étages de marbre. D'une superficie de 2377 m², son toit est double et chacun de ses coins est décoré de treize animaux traditionnels. C'est le plus grand bâtiment en bois de toute la Chine et ses 72 colonnes sont en pin. Les dalles qui recouvrent le sol sont connues sous le nom de « dalles d'or », en raison de leur coût élevé.

Pendant les dynasties Ming et Qing, ce bâtiment servait aux cérémonies importantes, des fêtes annuelles à l'intronisation des empereurs en passant par les examens nationaux et l'envoi au combat des généraux. À l'intérieur, le trône est situé dans l'axe de symétrie du palais et surmonté d'un caisson montrant un dragon tenant dans sa bouche une perle brillante.

Sur la terrasse extérieure, on peut admirer des tortues et grues en bronze, symboles de longévité. Un symbole du pouvoir impérial, le cadran solaire, indiquait que seul l'empereur avait le pouvoir de déterminer la date et l'heure pour son peuple. Ce cadran est constitué d'un disque de marbre traversé par un gnomon. Selon les saisons, l'heure était lue sur la partie nord ou sud du cadran.

Toujours sur la terrasse se trouvent des vasques de cuivre et de fer qui étaient toujours remplies d'eau et pouvaient ainsi être utilisées pour éteindre les incendies. Le palais en compte plus de 300, dont certaines sont incrustées d'or. En hiver, elles étaient couvertes et même parfois chauffées, pour éviter que l'eau ne gèle. Les plus anciennes datent de la fin du XVe siècle.

[Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême. [Cliquez pour agrandir : 82 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême : le toit. [Cliquez pour agrandir : 95 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 41 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême : cadran solaire. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême : statue de grue. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême : vasque anti-incendie. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême : vasque anti-incendie : détail. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie suprême : statue de tortue.

Ce bâtiment est suivi de la salle de l'harmonie parfaite. On peut y voir des statues d'éléphant symbolisant la stabilité du pouvoir impérial. C'est en ce lieu que l'empereur rappelait chaque année l'importance de l'agriculture pour la survie du pays.

[Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie parfaite : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie parfaite : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 148 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie parfaite : détail. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie parfaite : l'intérieur.

On trouve ensuite la salle de l'harmonie préservée. Elle avait de nombreux rôles, dont celui de servir de vestiaire à l'empereur et d'héberger les banquets destinés aux notables des différentes ethnies et les examens impériaux qui, pendant 1300 ans, ont sélectionné les candidats aux carrières officielles des lettrés.

[Cliquez pour agrandir : 75 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie préservée. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie préservée : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie préservée : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 119 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie préservée : l'intérieur : le trône. [Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie préservée : détail d'un toit. [Cliquez pour agrandir : 137 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'harmonie préservée : dalle sculptée.

En sortant de ce bâtiment, on peut admirer une pierre sculptée de plus de 200 tonnes, mesurant 16 mètres de long, 3 de large et 1,7 d'épaisseur. Sculptée pendant la dynastie Ming puis à nouveau pendant la dynastie Qing, elle représente neuf dragons au milieu des nuages, le tout entouré de lotus. Elle fut transportée depuis la banlieue de Pékin en la poussant, en hiver, sur une route gelée.

Porte de la pureté céleste

Cette porte fut construite en 1420, détruite par un incendie et reconstruite en 1655. Son toit est recouvert de tuiles vernissées jaunes. Le bâtiment repose sur un socle en marbre de 1,5 mètres d'épaisseur et s'élève à 16 mètres de haut. C'est à cet endroit que les premiers empereurs Qing entendaient les rapports officiels.

[Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Pékin - La Cité interdite : la porte de la pureté céleste. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Pékin - La Cité interdite : statue de lion devant la porte de la pureté céleste. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Pékin - La Cité interdite : statue de lion devant la porte de la pureté céleste. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Pékin - La Cité interdite : statue de lion devant la porte de la pureté céleste. [Cliquez pour agrandir : 121 Kio] Pékin - La Cité interdite : statue de lion devant la porte de la pureté céleste.

Palais de la pureté céleste

Ce palais fut construit en 1420 et reconstruit en 1798. Il servait de lieu de vie à l'empereur et celui-ci y menait aussi les affaires de la vie politique de l'empire. Il s'accompagne du palais de la tranquillité terrestre (Kun ning gong) et des deux ailes : la porte de l'excellence du Soleil (Ri jing men) et celle de la gloire de la Lune (Yue hua men).

[Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Pékin - La Cité interdite : le palais de la pureté céleste : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Pékin - La Cité interdite : le palais de la pureté céleste : statue de tortue. [Cliquez pour agrandir : 106 Kio] Pékin - La Cité interdite : le palais de la pureté céleste : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Pékin - La Cité interdite : le palais de la pureté céleste : l'intérieur : le trône.

Vient ensuite la salle de l'union et de la paix (Jiao tai dian), construite de 1522 à 1566 puis reconstruite pendant la dynastie Qing. Le bâtiment est carré avec un toit pyramidal. On y trouve un trône ainsi qu'une clepsydre, une cloche et 25 sceaux en Jade, symboles du pouvoir impérial. La grande horloge a 3 jours d'autonomie, ce qui est remarquable pour l'époque.

[Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'union et de la paix. [Cliquez pour agrandir : 95 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'union et de la paix devant le palais de la pureté céleste. [Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'union et de la paix : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 65 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'union et de la paix : l'intérieur : clepsydre.

Enfin, le palais de la tranquillité terrestre, construit en 1420, rebâti en 1655 et rénové en 1798, s'inspire de l'architecture Mandchoue, en plaçant les portes du côté Est et non au centre. Il a un toit de tuiles vernissées jaunes. C'est le lieu où vivait et dormait traditionnellement l'impératrice, alors que l'empereur dormait dans le palais de la pureté céleste.

[Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Pékin - La Cité interdite : le palais de la tranquilité terrestre. [Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Pékin - La Cité interdite : le palais de la tranquilité terrestre : l'intérieur.

Jardin impérial

Il date lui aussi de 1420, mesure 130×90 mètres et couvre donc une superficie de 12 000 m². Il contient de nombreux pins centenaires, des cyprès et de la glycine chinoise ainsi qu'une vingtaine de bâtiments disposés symétriquement. Un pin et un cyprès y sont enlacés depuis plus de 300 ans !

On y trouve entre autres la salle de la paix impériale (Qin an dian), construite en 1535, où se trouvait autrefois une statue de la déesse taoïste de l'eau, Zhenwu, et servait aux rituels taoïstes.

[Cliquez pour agrandir : 138 Kio] Pékin - La Cité interdite : le jardin impérial. [Cliquez pour agrandir : 151 Kio] Pékin - La Cité interdite : le jardin impérial. [Cliquez pour agrandir : 150 Kio] Pékin - La Cité interdite : le jardin impérial : la salle de la paix impériale. [Cliquez pour agrandir : 144 Kio] Pékin - La Cité interdite : le jardin impérial : pin et cyprès enlacés. [Cliquez pour agrandir : 137 Kio] Pékin - La Cité interdite : le jardin impérial. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - La Cité interdite : le jardin impérial : la porte d'entrée. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Pékin - La Cité interdite : le jardin impérial : la porte de sortie.

Différents pavillons y sont construits, notamment celui de la verdure flottante (Fu bi ting, carré, avec des tuiles vertes, datant de 1583) et celui de la neige pourpre (appelé ainsi en raison des cinq pommiers qui y étaient autrefois plantés et dont les pétales, en tombant, faisaient penser à de la neige rouge ; sa forme, "凸", complète celle du bureau de l'étude de la culture de la nature). Ce bureau (Yang xing zhai) a deux étages et pour forme "凹". C'est là que le dernier empereur, Pu Yi, recevait ses leçons d'anglais de Sir Reginald Johnson.

Le pavillon des dix mille printemps (Wan chun ting) et le pavillon millénaire (Qian qiu ting) se complètent également, car ils ont la même forme : leur base est carrée et leur toit circulaire. Le premier est situé à l'Est, ce qui symbolise le printemps et le second à l'Ouest, ce qui symbolise l'automne.

Le pavillon du portier au soleil (Yan hui ge date de la dynastie Ming. Il est décoré de bois peints et possède un étage. C'est le lieu où les concubines étaient sélectionnées et où les empereurs composaient des poèmes.

[Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Pékin - La Cité interdite : le pavillon Fu bi ting. [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Pékin - La Cité interdite : le pavillon Wan chun ting. [Cliquez pour agrandir : 126 Kio] Pékin - La Cité interdite : le pavillon millénaire. [Cliquez pour agrandir : 127 Kio] Pékin - La Cité interdite : le pavillon millénaire. [Cliquez pour agrandir : 148 Kio] Pékin - La Cité interdite : le pavillon du portier au soleil.

Autres bâtiments

Le palais compte de très nombreux autres bâtiments, parmi lesquels :

Le palais de cristal (shuijing gong), ou salle d'eau (shui dian) fut commencé en 1909, mais lors de l'abandon du palais quelques années plus tard, la construction est restée inachevée. Ce bâtiment se situe sur le lieu de l'ancien palais de la joie prolongée (Yan xi gong), datant de 1420 mais détruit par un incendie en 1845. À présent, certains bâtiments, ajoutés en 1925, servent de centre de recherche sur la calligraphie et les céramiques.

[Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Pékin - La Cité interdite : statue de phénix devant la salle de l'harmonie manifeste. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de la culture de l'esprit. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle d'eau (inachevée). [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle d'eau (inachevée). [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle d'eau (inachevée). [Cliquez pour agrandir : 163 Kio] Pékin - La Cité interdite : la salle de l'immortalité.

Certains de ces bâtiments ont été reconvertis en musées où des objets des dynasties Ming et Qing sont présentés dans des vitrines.

[Cliquez pour agrandir : 53 Kio] Pékin - La Cité interdite : théière en forme d'oiseau dans le musée. [Cliquez pour agrandir : 129 Kio] Pékin - La Cité interdite : récipient en argent ciselé dans le musée. [Cliquez pour agrandir : 63 Kio] Pékin - La Cité interdite : miroir dans le musée. [Cliquez pour agrandir : 64 Kio] Pékin - La Cité interdite : miroir dans le musée. [Cliquez pour agrandir : 70 Kio] Pékin - La Cité interdite : miroir dans le musée. [Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Pékin - La Cité interdite : boîte en cloisonné. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Pékin - La Cité interdite : petite sculpture. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Pékin - La Cité interdite : céramique. [Cliquez pour agrandir : 60 Kio] Pékin - La Cité interdite : horloge moderne. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - La Cité interdite : maquette. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Pékin - La Cité interdite : maquette. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Pékin - La Cité interdite : maquette.

La place Tian'anmen

Cette place est la plus grande du monde, avec ses 880×500 mètres. Ses quatre côtés sont des routes très passantes, mais il est possible d'utiliser des souterrains pour les franchir. Au Nord se trouve la Cité interdite, au Sud, la porte Qianmen. À l'Est et à l'Ouest se trouvent respectivement le Musée national et la Salle du peuple. Au milieu, le bâtiment carré est le mausolée de Mao Zedong. Le Centre national pour la pratique des arts est encore plus à l'Ouest et la rue Wangfujing encore plus à l'Est.

[Cliquez pour agrandir : 66 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : le Musée national. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : le Musée national. [Cliquez pour agrandir : 55 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : le palais de l'assemblée du peuple. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : le palais de l'assemblée du peuple. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Pékin - La porte Tian'anmen de la Cité interdite. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Pékin - La porte Tian'anmen de la Cité interdite. [Cliquez pour agrandir : 55 Kio] Pékin - Le centre national de la pratique des arts, non-loin de la place Tian'anmen. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Pékin - Le musée du chemin de fer, non-loin de la place Tian'anmen.

Le mausolée de Mao Zedong

Il fut construit en 1976 et 1977 pour abriter la dépouille embaumée de Mao Zedong, conservée dans un cercueil de cristal. Pendant la visite, il est interdit de s'arrêter et de prendre des photos.

[Cliquez pour agrandir : 62 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : le mausolée de Mao Zedong : face Nord. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : le mausolée de Mao Zedong : face Sud. [Cliquez pour agrandir : 50 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : décorations autour du mausolée de Mao Zedong. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Pékin - La place Tian'anmen : décorations autour du mausolée de Mao Zedong.

La porte Qianmen

Elle est aussi appelée Zhengyangmen et se situe au Sud de la place Tian'anmen. Elle date des dynasties Yuan et Ming et sa position exacte remonte à l'empereur Yongle, en 1419. Il s'agit en réalité de deux portes. L'une est appelée « tour de la porte », a trois toits et mesure environ 44 mètres de haut. L'autre, la « tour de la flèche », a deux toits et mesure 35 mètres. Elles sont visitables depuis 1991. Devant elles se trouve le kilomètre zéro des routes de Chine.

[Cliquez pour agrandir : 52 Kio] Pékin - La porte Qianmen. [Cliquez pour agrandir : 82 Kio] Pékin - La porte Qianmen : la tour de la porte. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Pékin - La porte Qianmen : la tour de la flèche. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Pékin - La porte Qianmen : le kilomètre zéro des routes de Chine.

Au Sud s'étend la rue Qianmen, très passante, qui dispose même d'un tramway.

[Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Pékin - La rue Qianmen et son tramway. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Pékin - La rue Qianmen.

Le parc Beihai

Il se situe tout près de la Cité interdite, à l'Ouest de celle-ci et s'étend sur 69 hectares, dont 39 d'étendues d'eau. Sur son lac se trouve l'île Qionghua sur laquelle est construite une pagode blanche.

L'histoire du parc comme jardin impérial a commencé dès l'année 938, sous le règne de l'empereur Huitong de la dynastie Liao. Elle s'est poursuivie avec les empereurs des dynasties suivantes dont Pékin n'était pas la capitale, puis avec les empereurs Ming puis Qing qui lui ont progressivement donné son aspect actuel. Le parc est ouvert au public depuis 1925.

Le petit paradis de l'Ouest

Cet ensemble de bâtiments, appelé en chinois « 小西天, Xiao xi tian », fut offert par l'empereur Qianlong à sa mère, pour son anniversaire et construit de 1768 à 1770. Il s'agit en particulier d'un temple très décoré de 1200 m².

[Cliquez pour agrandir : 161 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le petit paradis de l'Ouest : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le petit paradis de l'Ouest : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 140 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le petit paradis de l'Ouest : le plafond. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le petit paradis de l'Ouest : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 124 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le petit paradis de l'Ouest : l'intérieur.

Les cinq pavillons-dragon

Ces kiosques contigus datent de 1523. L'empereur s'y rendait pour pêcher et passer du temps avec ses ministres et ses concubines. Aujourd'hui, les Chinois s'y retrouvent pour chanter, danser et jouer de la musique.

[Cliquez pour agrandir : 38 Kio] Pékin - Le parc Beihai : les cinq pavillons-dragon. [Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Pékin - Le parc Beihai : deux des cinq pavillons-dragon. [Cliquez pour agrandir : 159 Kio] Pékin - Le parc Beihai : intérieur d'un des cinq pavillons-dragon. [Cliquez pour agrandir : 148 Kio] Pékin - Le parc Beihai : plafond d'un des cinq pavillons-dragon. [Cliquez pour agrandir : 63 Kio] Pékin - Le parc Beihai : chorale dans l'un des cinq pavillons-dragon.

La salle de la neige rapide

Cet ensemble de trois bâtiments, nommé en chinois Kuaixue dian, fut construit en 1779 pour l'empereur Qianlong en vue d'héberger une pierre portant une inscription réalisée par le calligraphe Zhao Menghu, de la dynastie Yuan, qui l'a copiée d'un calligraphe plus ancien, Wang Xizhi, de la dynastie Jin.

Entre les bâtiments se trouve un rocher de 5 mètres de haut sur lequel est gravé un poème de l'empereur Qianlong intitulé « Poème du nuage qui se lève » (Yun qi feng ge).

[Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la neige rapide. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la neige rapide. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la neige rapide : le rocher central.

Le temple de l'interprétation de la félicité

Ce temple bouddhiste (Chanfu gong) reprend l'architecture du temple de la prospérité (Longxing gong) du comté de Zhending dans la province du Hebei. On peut y voir la tour de la cloche et celle du tambour.

[Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le temple de l'interprétation de la félicité.

Le mur des neuf dragons

Ce mur, construit en 1756 pour l'empereur Qianlong mesure 25 mètres de long et 6 de haut. Il est recouvert de briques vernissées et comporte neuf grands dragons de chaque côté.

[Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le mur des neuf dragons. [Cliquez pour agrandir : 128 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le mur des neuf dragons. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le mur des neuf dragons : détail. [Cliquez pour agrandir : 135 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le mur des neuf dragons : détail.

La salle de la paix de l'esprit

Jingxi dian est en fait d'un jardin comportant une dizaine de bâtiments pour une superficie totale de plus de 9000 m², construits entre 1756 et 1758 pour l'empereur Qianlong et reconstruit en 1885 pour l'impératrice douairière Ci Xi. Ce lieu est ouvert au public depuis 1992.

[Cliquez pour agrandir : 132 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la paix de l'esprit. [Cliquez pour agrandir : 122 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la paix de l'esprit. [Cliquez pour agrandir : 154 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la paix de l'esprit. [Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la paix de l'esprit : corridor. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la paix de l'esprit : jardin intérieur. [Cliquez pour agrandir : 117 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle de la paix de l'esprit : pont en pierre.

La salle du roi céleste

Appelée en chinois Tianwang dian, il s'agit encore d'un grand temple bouddhiste, contenant plusieurs salles et de nombreuses statues des divinités, entre autres les dieux des quatre points cardinaux.

[Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 119 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste : statues des rois de l'Ouest et du Nord. [Cliquez pour agrandir : 119 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste : statues des rois de l'Est et du Sud. [Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste : statue de Wei Tuo. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste : statue du Bouddha. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Pékin - Le parc Beihai : la salle du roi céleste : statues.

L'île Qionghua

Cette île compte de nombreux bâtiments, dont la salle de la sagesse ainsi que des grottes artificielles dont l'origine remonte à 1166.

La pagode blanche fut érigée en 1651 puis reconstruite en 1679, 1730 et 1977, après avoir subi trois tremblements de terre. Devant elle se trouve la salle de la causalité bienfaisante, qui date de 1751 et dont les murs extérieurs sont recouverts de carreaux vernissés sur lesquels sont gravées autant d'images du Bouddha.

Cette pagode est l'élément le plus connu du temple bouddhiste de la paix éternelle (Jing'an), construit en 1651 avec 7 bâtiments (dont la pagode) et agrandi deux fois sous l'empereur Qianlong, en 1743 (ajout de deux salles et deux tours) et 1751 (ajout d'une salle et deux pavillons). Il est complètement rénové en 1993.

[Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le temple de la paix éternelle et sa pagode. [Cliquez pour agrandir : 128 Kio] Pékin - Le parc Beihai : porte près du temple de la paix éternelle. [Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le temple de la paix éternelle : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le temple de la paix éternelle : bâtiment. [Cliquez pour agrandir : 121 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le temple de la paix éternelle : la montée à la pagode blanche. [Cliquez pour agrandir : 63 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le temple de la paix éternelle : la pagode blanche. [Cliquez pour agrandir : 60 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le temple de la paix éternelle : la pagode blanche vue depuis la Cité interdite.

Enfin, le pavillon des travaux anciens fut construit en 1753 pour rassembler 495 copies des principaux chefs-d'œuvre de la calligraphie chinoise des dynasties Jin à Ming que l'empereur Qianlong avait fait collecter depuis toute la Chine. Ces copies y sont toujours exposées, dans 25 petites pièces.

[Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le pavillon des travaux anciens. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Pékin - Le parc Beihai : le pavillon des travaux anciens.

Autres lieux

Les autres sites remarquables de ce parc sont le jardin du ruisseau Haopu (Haopu jian) et la salle du bateau peint (Huafang dian).

[Cliquez pour agrandir : 136 Kio] Pékin - Le parc Beihai : bâtiment traditionnel. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Pékin - Le parc Beihai : couloir traditionnel.

Les palais

Le palais du prince Gong

Il s'agit d'un très grand palais (60 000 m² au total) comprenant des bâtiments (divisés en une colonne principale entourée de deux ailes, à l'Est et à l'Ouest) et un grand jardin. Le premier personnage y ayant vécu est He Shen, le grand secrétaire de l'empereur Qianlong, entre 1776 et 1799. Le second est le prince Gong, ministre de la législation de l'empereur Tongzhi, entre 1852 et 1898. Les tuiles vertes des toits indiquent un rang inférieur à celui du palais de l'empereur.

[Cliquez pour agrandir : 75 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : le portail d'entrée. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : une des cours intérieures. [Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong. [Cliquez pour agrandir : 134 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : entrée des jardins. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : bâtiment peint. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : bâtiments en pierre. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : trône à l'intérieur d'un bâtiment.

Les jardins comprennent un bassin au centre duquel se trouve un kiosque, de nombreuses essences de plantes et même une réplique miniature de la grande Muraille de Chine ! L'un des points remarquables du jardin est la grotte artificielle qui contient une dalle sur laquelle est gravé le caractère , signifiant une bénédiction, selon le modèle manuscrit de l'empereur Kangxi (1662-1723).

[Cliquez pour agrandir : 127 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins. [Cliquez pour agrandir : 113 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins. [Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins. [Cliquez pour agrandir : 140 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins. [Cliquez pour agrandir : 139 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins. [Cliquez pour agrandir : 157 Kio] Pékin - Le palais du prince Gong : les jardins.

Ancien palais d'été

L'ancien palais d'été était situé dans le parc Yuanmingyuan. Ce parc, de 350 hectares, était l'un des trois jardins impériaux du lieu, avec les parcs Changchunyuan et Qinchunyuan. Sa construction a commencé en 1707, sous l'empereur Kangxi ; elle s'est étalée sur les 150 années et les règnes des cinq empereurs suivants et a englouti des fortunes colossales.

[Cliquez pour agrandir : 73 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : vue générale du lac gelé. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : pont en pierre sur le lac gelé. [Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : pont en bois sur le lac gelé. [Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : étang et saules pleureurs. [Cliquez pour agrandir : 56 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : lac et fontaine.

Par la suite, après l'arrivée des Européens, le peintre italien Giuseppe Castiglione et le missionnaire français Michel Benoist ont orchestré la construction d'un palais annexe au premier, mais de style européen baroque, entre 1747 et 1759. Celui-ci sera longtemps appelé le « Versailles chinois » et comportait des bâtiments splendides, des jardins de style Le Nôtre et des richesses dont ne restent plus aujourd'hui que les descriptions, notamment celle d'une horloge qui indiquait l'heure grâce à des jets d'eau crachés par douze statues de bronze dont seules sept des têtes ont pour l'heure été retrouvées.

En effet, en octobre 1860, les troupes franco-britanniques ont pillé et brûlé tout l'ensemble, en représailles de la torture et de l'exécution de prisonniers européens et indiens par les troupes chinoises. Ce faisant, les dirigeants de l'armée ont cédé à la vengeance et ont ajouté à la barbarie inacceptable constatée une autre barbarie dont les siècles suivants ont conservé la mémoire et un désespoir inconsolable face à ces merveilles perdues à jamais. Le palais comportait également tout un ensemble de bâtiments chinois, en bois, dont il ne reste presque rien. Seules demeurent les bases en pierre et la position des piliers de bois.

Les ruines ont continué d'être pillées pendant plusieurs années, entre autres pendant la révolte des Boxers. Depuis, ces restes sont mis en valeur mais laissés volontairement à l'état de ruines, à l'exception d'un kiosque entouré d'un labyrinthe, reconstruit en 1987. Certains blocs de pierre sculptés qui avaient été déplacés par des pillards vers d'autres villes chinoises ont récemment repris leur place d'origine. Ce lieu très triste fait un peu penser au forum de Rome, mais est finalement plus dévasté, car des bâtiments, il ne reste pas pierre sur pierre.

[Cliquez pour agrandir : 75 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : emplacement des bâtiments asiatiques de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 114 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : emplacement des bâtiments asiatiques de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : emplacement d'un bâtiment asiatique de l'ancien palais d'été.

Le palais de style européen, en pierre, comportait douze principaux bâtiments et cours, d'une superficie totale de 70 000 m² :

[Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Xieqiqu de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Xieqiqu de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : fontaine du bâtiment européen Xieqiqu de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : kiosque du jardin européen Huanghua de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 114 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : détail du mur du jardin européen Huanghua de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : kiosque du jardin européen Huanghua de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 114 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : labyrinthe du jardin européen Huanghua de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Wuzhuting de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Fangwaiguan de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Haiyantang de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Haiyantang de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du réservoir du bâtiment européen Haiyantang de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Guanshuifa de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 73 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Guanshuifa de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Dashuifa de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Dashuifa de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 52 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines de bâtiments européens de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines d'un dallage européen de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : détail de la fontaine du bâtiment européen Xieqiqu de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : détail de la fontaine du bâtiment européen Xieqiqu de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 143 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : ruines du bâtiment européen Yangquelong de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 142 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : la colline Xianfashan de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 149 Kio] Pékin - Parc Yuanmingyuan : la colline Xianfashan de l'ancien palais d'été.

Le palais d'été

Ce lieu devrait être appelé plus précisément « jardins impériaux », car il ne s'agit pas à proposent parler d'un palais mais d'un groupe de bâtiments religieux entourés de jardins et situé à proximité du lac Kunming, au Nord-Ouest de la ville.

[Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Pékin - Le palais d'été : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Pékin - Le palais d'été : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Pékin - Le palais d'été : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Pékin - Le palais d'été : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 71 Kio] Pékin - Le palais d'été : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Pékin - Le palais d'été : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - Le palais d'été : vue générale.

Le groupe principal s'appelle « Sida Buzhou ». Ces quatre bâtiments bouddhistes (Jambudvipa, Uttarakara, Purvavidewa et Aparagodahiya) de style tibétain furent construits pendant le règne de l'empereur Qianlong (1736-1795), détruits par les forces franco-anglaises en 1860 (comme l'ancien palais d'été) et reconstruits en 1980.

Les autres lieux remarquables sont : le domaine à la multitude de parfums (voûte décorée ornée de cette inscription), le temple de la mer de sagesse (une salle sans pilier dont les murs sont décorés de 1110 statuettes du Bouddha et contenant une grande statue du Bouddha), la « salle pour écouter les loriots » (où étaient produits les opéras, en particulier pour la mère de l'empereur Qianlong et l'impératrice douairière Ci Xi) et la « tour du parfum du Bouddha » (un temple bouddhiste comportant une grosse pagode). On peut aussi y voir un bateau de marbre.

[Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : la salle pour écouter les loriots. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : le bateau de marbre. [Cliquez pour agrandir : 130 Kio] Pékin - Le palais d'été : le temple de la mer de sagesse. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - Le palais d'été : le temple de la mer de sagesse : statuettes. [Cliquez pour agrandir : 64 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : la tour du parfum du Bouddha : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : la tour du parfum du Bouddha : la pagode. [Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : la tour du parfum du Bouddha : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 126 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : la tour du parfum du Bouddha : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : la tour du parfum du Bouddha : arche devant l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Pékin - Le nouveau palais d'été : la tour du parfum du Bouddha : statue à l'entrée.

Les églises

La cathédrale de l'Immaculée Conception

Les églises situées successivement en ce lieu depuis 1605 furent détruites par des séismes en 1720 et 1730, un incendie en 1775 et la révolte des Boxers en 1900.

Le bâtiment actuellement visible date de 1904 et est construit en briques grises, dans un style néoclassique. Il est connu des Pékinois sous le nom de « Nantang » (cathédrale du Sud).

[Cliquez pour agrandir : 64 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 65 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : le fond. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : l'autel du Sacré-Cœur. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : l'autel de Saint-Joseph. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : statue de la Vierge. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : statue du frère Matteo Ricci. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Pékin - La cathédrale de l'Immaculée Conception : statue de Saint François-Xavier.

L'église Saint-Joseph de Wangfujing

Située dans la rue Wangfujing, proche de la Cité interdite, elle fut reconstruite trois fois et est connue localement sous le nom de « Dongtang » (cathédrale de l'Est).

Le premier édifice était une petite église adjacente à la maison offerte aux prêtres italien Li Leisi et portugais An Wensi en 1655 par l'empereur Qing Shunzhi.

Cette église est détruite par un séisme en 1720 et reconstruite la même année. Elle a ensuite brûlé en 1807 dans un incendie déclenché accidentellement par les prêtres, ce qui a servi de motif au gouvernement de l'époque pour la confisquer.

Elle a finalement été reconstruite une seconde fois en 1884, à l'aide de fonds internationaux, puis brûlée de manière criminelle pendant la « révolte des boxers », le 13 juin 1900.

Le bâtiment actuel date donc de la troisième et dernière reconstruction, de 1905. Elle n'a pas trop souffert pendant la révolution culturelle et fut restaurée puis rouverte en 1980. Elle est aujourd'hui en activité.

[Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Pékin - L'église Saint-Joseph de Wangfujing : la façade. [Cliquez pour agrandir : 117 Kio] Pékin - L'église Saint-Joseph de Wangfujing : le côté Sud. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Pékin - L'église Saint-Joseph de Wangfujing : l'abside. [Cliquez pour agrandir : 121 Kio] Pékin - L'église Saint-Joseph de Wangfujing : statue de Saint Joseph. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Pékin - L'église Saint-Joseph de Wangfujing : intérieur. [Cliquez pour agrandir : 194 Kio] Pékin - L'église Saint-Joseph de Wangfujing : détail des vitraux.

L'église du Saint-Sauveur

L'ancienne cathédrale du Saint-Sauveur, aussi appelée « église de Xishiku », d'après le nom du quartier, ou encore « Beitang » (cathédrale du Nord), est l'ancien siège épiscopal.

L'église a été bâtie une première fois à Canchifou, sur la rive Ouest du lac Zhongnaihai, sur un terrain offert par l'empereur Kangxi, et inaugurée le 9 décembre 1703. L'église fut détruite en 1827 sur l'ordre de l'empereur Daoguang. Les terres furent ensuite restituées à l'Église, en 1860, par l'empereur Xianfeng et l'église reconstruite en 1866.

En 1887, elle fut à nouveau détruite pour permettre l'agrandissement du palais impérial et les 450 000 liang d'argent permirent de construire l'église actuelle, à Xishiku, plus grande que la précédente. La dernière restauration, en 1990, a ajouté un étage à l'édifice, ce qui en fait la plus grande église du diocèse. Elle mesure 16,5 m de haut pour 2200 m² et son clocher s'élève à 31 m.

[Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : la façade. [Cliquez pour agrandir : 113 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : pavillon et lion chinois. [Cliquez pour agrandir : 167 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : grotte de la Vierge de Lourdes. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : stèle. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : la nef et le chœur. [Cliquez pour agrandir : 126 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : le transept. [Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : les stalles. [Cliquez pour agrandir : 119 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : chapelle latérale. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : chapelle latérale. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : chapelle latérale. [Cliquez pour agrandir : 134 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : détail d'un vitrail. [Cliquez pour agrandir : 158 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : détail d'un vitrail. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Pékin - L'église du Saint-Sauveur : le transept.

Autres

Pékin compte plusieurs autres églises, entre autres une église anglicane, non-loin de la cathédrale et une église protestante, au Sud de la rue Qianmen.

Enfin, l'église Xizhimen, connue sous le nom de « Xitang » (cathédrale de l'Ouest).

[Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - Église anglicane non-loin de la cathédrale. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Pékin - Église protestante au Sud de la rue Qianmen.

Les temples

Le temple du ciel

D'une superficie totale de 274 hectares, sa construction a commencé en 1420, sous le règne de l'empereur Yongle, de la dynastie Ming. La disposition des bâtiments est conforme aux normes de cette époque, mais les bâtiments actuels ne datent presque que de la dynastie Qing. Les 22 empereurs des dynasties Ming et Qing y ont ensuite vénéré le ciel chaque année, lors du solstice d'hiver, pour obtenir de bonnes récoltes et des précipitations adaptées. Cette tradition remonte au XXVIe siècle avant Jésus-Christ et comprend des sacrifices d'animaux. Elle s'est achevée en 1911, avec la fin du système féodal.

Salle de prière pour de bonnes récoltes

Le bâtiment principal est la salle de prière pour les bonnes récoltes. Il s'agit d'un bâtiment circulaire en bois de 38 mètres de haut. La disposition de ses 28 piliers est inspirée des connaissances astronomiques de l'époque et du calendrier lunaire chinois. Ses décorations comprennent un dragon et un phoenix embrassant le sceau impérial.

[Cliquez pour agrandir : 58 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la salle de prière pour de bonnes récoltes. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la salle de prière pour de bonnes récoltes. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la salle de prière pour de bonnes récoltes. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la salle de prière pour de bonnes récoltes. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la salle de prière pour de bonnes récoltes.

Le pont Danbi

Il relie l'autel pour de la butte circulaire à celui de la prière pour les grains. Il mesure 360 mètres de long et 4 mètres de haut, comporte plusieurs arches et est légèrement en pente. Au milieu de lui, la route réservée à l'empereur mesure 30 mètres de large. Les chemins en briques étaient pour les personnages importants.

[Cliquez pour agrandir : 45 Kio] Pékin - Le temple du ciel : le pont Danbi. [Cliquez pour agrandir : 67 Kio] Pékin - Le temple du ciel : le pont Danbi. [Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Pékin - Le temple du ciel : le pont Danbi.

La voûte impériale du ciel

Ce bâtiment fut d'abord construit en 1530, sous l'empereur Jiajing et servait lui aussi à héberger les tablettes des dieux. Sa forme actuelle, de 19 mètres de haut et 16 mètres de diamètre date de 1752 et fut réalisée sous le règne de l'empereur Qianlong. Sa structure est en bois et son toit est recouvert de tuiles bleues. Les décors intérieurs représentent un dragon jouant avec une perle.

[Cliquez pour agrandir : 63 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la voûte impériale du ciel. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la voûte impériale du ciel. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la voûte impériale du ciel.

Salles annexes

La salles annexes Est et Ouest datent de 1530 (9è année du règne de l'empereur Jiajing de la dynastie Ming). Les tuiles de leurs toits sont bleues. La salle Est servait à stocker les tablettes des planètes du système solaire ainsi que celles du Soleil et de l'étoile polaire. De même, la salle Ouest servait à stocker les tablettes de la Lune et des dieux des nuages, de la pluie, du vent et du tonnerre.

[Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la salle annexe Est. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la salle annexe Ouest.

Butte circulaire

Datant également de 1530, cet autel servait à la cérémonie proprement dite. Ses dalles sont en pierre gris-verte et entourées d'une balustrade de marbre blanc depuis son agrandissement en 1749, sous l'empereur Qianlong.

Il dispose de neuf portes d'entrée, de neuf volées de neuf marches et ses dalles forment neuf cercles concentriques entourant une dalle centrale, composés de 9, 18, 27 et jusqu'à 81 dalles. En effet, les Chinois pensaient autrefois que le ciel avait neuf niveaux, et considéraient donc ce nombre comme sacré.

[Cliquez pour agrandir : 63 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la butte circulaire. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Pékin - Le temple du ciel : la butte circulaire. [Cliquez pour agrandir : 82 Kio] Pékin - Le temple du ciel vu depuis la butte circulaire. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Pékin - Le temple du ciel vu depuis la butte circulaire.

Le palais d'abstinence

Avant d'offrir les sacrifices annuels, l'empereur se retirait dans ce palais pour observer un jeûne traditionnel de trois jours. Il s'y privait de viande, de boissons, de musique, de femmes et des affaires de l'empire.

Le palais de 40 000 m², construit en 1420, est fortifié et dispose de douves, d'un beffroi et de bâtiments pour les gardes. Ses tuiles sont vertes, ce qui symbolise l'obéissance de l'empereur envers le ciel.

[Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Pékin - Le temple du ciel : le palais d'abstinence. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Pékin - Le temple du ciel : le palais d'abstinence.

La lamaserie Yonghegong

À leur construction, en 1694, ces bâtiments étaient la résidence du prince Yong. L'empereur Qianlong en a fait un temple lama en 1744. Il s'agit aujourd'hui de la plus grande lamaserie de Pékin, ouverte au public depuis 1981.

Les nombreux bâtiments sont de styles Manchou, Han, Tibétain et Mongol. L'œuvre la plus remarquable est une statue du Bouddha mesurant 26 mètres de haut et sculptée dans le bois d'un seul arbre (un santal blanc). D'autres statues utilisent du bois de nanmu et de santal rouge.

[Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 142 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : le Bouddha de 26 mètres. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : offrandes d'encens. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : moulin à prières. [Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : statues. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Pékin - Le temple Yonghegong : statues.

Le temple du dieu du feu

Il se situe sur une des rives du lac Qianhai, près des tours de la cloche et du tambour.

[Cliquez pour agrandir : 119 Kio] Pékin - Le temple du dieu du feu. [Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Pékin - Le temple du dieu du feu.

Les tours

Ce type de tours se retrouve dans d'autres villes chinoises, comme Xi'an et Nankin. Ces structure servaient à annoncer l'heure pendant les dynasties Yuan, Ming et Qing.

Tour de la cloche

Cette tour à base carrée abrite une des plus grandes et lourdes cloches en bronze anciennes de Chine : fondue sous l'empereur Yongle de la dynastie Ming, son corps mesure 5,5 m de haut pour 3,5 m de diamètre, jusqu'à 24,5 cm d'épaisseur et 63 tonnes ! On dit que l'on pouvait l'entendre jusqu'à 5 km !

[Cliquez pour agrandir : 95 Kio] Pékin - La tour de la cloche. [Cliquez pour agrandir : 70 Kio] Pékin - La tour de la cloche. [Cliquez pour agrandir : 47 Kio] Pékin - La tour de la cloche : détail du toit.

Tour du tambour

Cette tour s'élève à près de 47 m de haut et son toit est triple. Construite en 1272, sous l'empereur Zhiyuan de la dynastie Yuan, elle brûla puis fut reconstruite en 1297 et restaurée, notamment en 1420. Elle a cessé de donner l'heure en 1924, sous la République de Chine.

[Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Pékin - La tour du tambour. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Pékin - La tour du tambour.

Les universités

L'Université de Pékin

Surnommée « Beida » Il s'agit de l'université la plus prestigieuse de Chine, fondée en 1898. Son portail d'entrée est très connu et elle possède aussi une pagode, appelée « Pagode Boya ».

[Cliquez pour agrandir : 121 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : le bâtiment principal. [Cliquez pour agrandir : 65 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : la pagode Boya. [Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : la pagode Boya. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : bâtiment. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : bâtiment. [Cliquez pour agrandir : 72 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : bâtiment. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Pékin : bâtiment.

L'Université Tsinghua

C'est la deuxième université la plus prestigieuse de Chine, fondée en 1911.

[Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Tsinghua : portail d'entrée. [Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Tsinghua : autre entrée. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Tsinghua : bâtiment. [Cliquez pour agrandir : 56 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Tsinghua : bâtiment. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Pékin - Campus de l'Université de Tsinghua : bâtiment.

L'Université Beihang

C'est là que se situe l'École Centrale de Pékin, un projet commun entre l'université et le groupe des Écoles centrales. Cette école franco-chinoise fut décidée en 2004 et la première promotion fut diplômée en 2011.

L'opéra de Pékin

L'opéra de Pékin est une forme d'art née à la fin du XVIIIe siècle, à l'origine destinée au divertissement de l'empereur.

Aujourd'hui, on peut assister à un tel spectacle au théâtre de Chang An, qui comprend une salle à deux étages de 800 places, assez traditionnelle, dans un bâtiment très moderne.

[Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - L'opéra : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Pékin - L'opéra : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 106 Kio] Pékin - L'opéra : la salle de spectacle. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Pékin - L'opéra : la salle de spectacle.

J'ai pu y voir jouer la pièce « 龙凤呈祥 ».

[Cliquez pour agrandir : 57 Kio] Pékin - Pièce « 龙凤呈祥 ». [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Pékin - Pièce « 龙凤呈祥 » : l'orchestre. [Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Pékin - Pièce « 龙凤呈祥 ». [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - Pièce « 龙凤呈祥 ».

Autres lieux

Le musée Polyart

Ce musée est situé dans plusieurs étages d'un gratte-ciel du centre-ville, près du métro Dongsishitiao.

[Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Pékin - Le Poly art museum : intérieur. [Cliquez pour agrandir : 136 Kio] Pékin - Le Poly art museum : intérieur.

Très bien présenté, il possède de belles collections de bronzes et de statues.

[Cliquez pour agrandir : 62 Kio] Pékin - Le Poly art museum : tête de dragon en bronze de la dynastie des Han occidentaux. [Cliquez pour agrandir : 50 Kio] Pékin - Le Poly art museum : lapin en bronze de la dynastie des Zhou occidentaux (11è s. av. J.-C. à -771). [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Pékin - Le Poly art museum : récipient en bronze. [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - Le Poly art museum : boîte en bronze en forme de chariot de la dynastie des Zhou occidentaux (11è s. av. J.-C. à -771). [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Pékin - Le Poly art museum : statue du Bouddha de la dynastie Wei de l'Est (534-550). [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - Le Poly art museum : statue de Boddhavista des dynasties Qi du Nord  à Sui (550-617).

Ses éléments les plus remarquables sont quatre têtes en bronze provenant de la fontaine du bâtiment Haiyantang de l'ancien palais d'été. Cependant, ces objets sont parfois sortis du musée pour des expositions temporaires et celles sur les photos ci-dessous ne sont que des reproductions vendues aux touristes.

[Cliquez pour agrandir : 57 Kio] Pékin - Le Poly art museum : reproduction de la tête de cochon en bronze de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 73 Kio] Pékin - Le Poly art museum : reproduction de la tête de singe en bronze de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Pékin - Le Poly art museum : reproduction de la tête de tigre en bronze de l'ancien palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 62 Kio] Pékin - Le Poly art museum : reproduction de la tête de bœuf en bronze de l'ancien palais d'été.

Le site olympique 2008

Il s'agit d'une immense esplanade d'environ 200 m de large pour 1 km de long. Les bâtiments principaux sont le stade national, surnommé « nid d'oiseau » en raison de sa forme et de son architecture, d'une capacité de 80 000 places et le centre national de natation, surnommé « cube d'eau », de forme carrée et dont le côté mesure 177 m. On trouve aussi une grande tour aérée d'où les différentes équipes de journalisme commentaient les jeux.

[Cliquez pour agrandir : 60 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : la tour TV. [Cliquez pour agrandir : 53 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : l'esplanade. [Cliquez pour agrandir : 46 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : le « cube d'eau ». [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : le « nid d'oiseau ». [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : le « nid d'oiseau ». [Cliquez pour agrandir : 62 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : hôtel moderne. [Cliquez pour agrandir : 54 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : le « cube d'eau ». [Cliquez pour agrandir : 50 Kio] Pékin - Le site des Jeux olympiques 2008 : lampadaire.

La rue Wangfujing

Il s'agit d'une rue très touristique, située à l'Est de la Cité interdite. On y trouve de nombreux magasins occidentaux, vendant toutes sortes de choses pour les touristes : nourriture, vêtements, produits de luxe et souvenirs.

Du côté Ouest se trouvent des ruelles où se tiennent des marchés de nuit. On peut y trouver toutes sortes de babioles pour touristes (fausses statues, peluches, baguettes chinoises, petites boîtes, éventails, lanternes...) ainsi que de la nourriture étrange (scorpions grillés, brochettes d'étoiles de mer ou d'hippocampes...).

[Cliquez pour agrandir : 82 Kio] Pékin - La rue Wangfujing, de nuit. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Pékin - La rue Wangfujing, de nuit. [Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Pékin - La rue Wangfujing : vente de tableaux. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Pékin - La rue Wangfujing : vente de grillades (scorpions vivants, étoiles de mer et hippocampes). [Cliquez pour agrandir : 139 Kio] Pékin - La rue Wangfujing : vente de bibelots pour touristes.

Le parc Ditan

Le site historique majeur de ce parc est le temple de la Terre, dont la construction, commencée sous l'empereur Jiajing, date de 1530. Il est carré et a une superficie totale de 37,4 hectares. Il est ouvert au public depuis 1957 et a été restauré depuis. Plus loin dans le parc se trouve une butte carrée, qui est l'autel sur lequel les empereurs offraient des sacrifices au dieu de la Terre.

[Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Pékin - Le parc Ditan : le temple de la Terre. [Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Pékin - Le parc Ditan : le temple de la Terre. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Pékin - Le parc Ditan : le temple de la Terre.

Le parc Zhongshan

Ce parc de 23 hectares se trouve juste à l'Ouest de l'entrée de la Cité interdite. Il fut créé au XIIe siècle pendant les dynasties Liao et Jin. Le lieu est devenu en 1914 le premier parc public de la capitale. Il est très agréable de s'y promener et l'on peut y voir toutes sortes de fleurs et d'arbres ainsi que des pierres étranges collectionnées par les empereurs, comme la « pierre du lotus vert », rapportée en 1751 par l'empereur Qianlong.

[Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : pavillon. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : porte. [Cliquez pour agrandir : 113 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : la pierre du lotus vert. [Cliquez pour agrandir : 56 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : canal. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : rochers. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : pavillon. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : pavillon et corridor. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : corridor. [Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : peinture dans un corridor. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : peinture dans un corridor.

L'autel des dieux de la terre et du grain

Sous l'empereur Yongle, en 1420, le temple des dieux de la terre et du grain y fut créé. Ce temple a perduré pendant les dynasties Ming et Qing : 25 empereurs y ont offert un total de 1372 sacrifices, principalement aux mois lunaires correspondants à février et août.

L'autel consiste en une structure carrée d'environ un mètre de haut divisée en cinq espaces de couleurs différentes (bleu à l'Est, rouge au Sud, blanc à l'Ouest, noir au Nord et jaune au centre, ce qui signifie que toute la terre sous le Soleil appartient à l'empereur). Au centre de l'autel, une pierre pointue est érigée et représente la stabilité de l'empire.

[Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : l'autel des dieux de la terre et du grain. [Cliquez pour agrandir : 66 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : l'autel des dieux de la terre et du grain. [Cliquez pour agrandir : 54 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : l'autel des dieux de la terre et du grain. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : l'autel des dieux de la terre et du grain.

La salle Zhongshan

Cette salle date de 1421 et abritait à l'origine l'empereur pendant les sacrifices. Entièrement faite de bois, elle n'a pas de plafond et l'architecture de son toit est donc apparente.

À la mort du Dr. Sun Yat-Sen, en 1925, son corps y est placé dans un pavillon. Il y demeurera jusqu'en 1928, puis le parc sera renommé « parc Zhongshan », d'après le surnom du docteur.

[Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : la salle Zhongshan. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Pékin - Le parc Zhongshan : la statue du Dr. Sun Yat-Sen.

Les hutongs

Un hutong est un ensemble de petites maisons et de rues étroites qui sont conservées dans leur architecture d'origine. Le type traditionnel de maison dans un hutong est la siheyuan, qui possède une cour intérieure. L'équivalent shanghaien est le lilong.

La zone de Jinsitao, par exemple est un hotong datant de la dynastie Ming où l'on fabriquait, à l'époque, la soie colorée pour la Cité interdite.

[Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Pékin - Un hutong près du lac Qianhai. [Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Pékin - Un hutong près du lac Qianhai. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Pékin - Un hutong près du lac Qianhai.

Le lac Qianhai

Il se trouve près du parc Beihai, des tours de la cloche et du tambour, du temple du dieu du feu et d'un grand hutong.

[Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Pékin - Le lac Qianhai, gelé : patineurs devant les tours de la cloche et du tambour. [Cliquez pour agrandir : 58 Kio] Pékin - Le lac Qianhai, gelé : patineurs. [Cliquez pour agrandir : 142 Kio] Pékin - Canal près du lac Qianhai. [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Pékin - Le lac Qianhai. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Pékin - Le lac Qianhai : bateaux.

Autres

Les bâtiments militaires des Qing sont de style occidental, avec un toit fait d'acier.

[Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Pékin - Les bâtiments de l'armée de la dynastie Qing. [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Pékin - Les bâtiments de l'armée de la dynastie Qing.

L'ancienne bibliothèque nationale a un style très traditionnel, avec un portail gardé par deux statues de lion. Elle se trouve près de l'entrée Sud du parc Beihai.

[Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Pékin - L'ancienne bibliothèque nationale. [Cliquez pour agrandir : 61 Kio] Pékin - L'ancienne bibliothèque nationale.

Depuis le palais d'été, on peut voir la pagode Feng Yu, sur la colline de Yu Quan ainsi que la tour CCTV.

[Cliquez pour agrandir : 44 Kio] Pékin - La pagode Feng Yu sur la colline de Yu Quan vue depuis le nouveau palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 46 Kio] Pékin - La pagode Feng Yu sur la colline de Yu Quan vue depuis le nouveau palais d'été. [Cliquez pour agrandir : 30 Kio] Pékin - La tour centrale de radio-télédiffusion de Pékin vue du nouveau palais d'été.

Transports

La gare Sud

Elle dispose d'une immense salle d'attente et on peut y prendre le train pour de nombreuses destinations, dont Shanghai.

[Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Pékin - La gare Sud. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Pékin - La gare Sud : intérieur.

Le métro

Il est très moderne et la plupart des stations disposent de barrières de quai. Il est aérien par endroits.

[Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Pékin - Le métro. [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Pékin - Le métro : la ligne 2. [Cliquez pour agrandir : 65 Kio] Pékin - Le métro : rame de la ligne 5. [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Pékin - Le métro : station Datunlu de la ligne 5.

Le trolley

Pékin dispose également de lignes de trolleys.

[Cliquez pour agrandir : 65 Kio] Pékin - Trolleys.


Cette page en français a été créée par Peter à partir de notes de voyage, 7 février 2010 et modifiée pour la dernière fois 25 août 2020. Son avancement est noté 3/3.